Fantasio (Offenbach) -
Rennes, Nantes, Tours et Angers
«Agrégée d'économie,
Iane Roulleau (Elsbeth) a les
moyens d'un rôle périlleux par son amplitude vocale et sait jouer
les nunuches avec une feinte innocence»
Jacques Doucelin Le Figaro octobre 2000
«Nous avons entendu d'interressantes voix comme
celle de Iane Roulleau
qui incarnait avec grâce le rôle d'Elsbeth. La voix est joliment
timbrée et très à l'aise dans l'aigu.»
Opéra International décembre 2000
Carmen (Bizet) - Nancy
«Les seconds rôles sont parfaitement distribués,
avec une
Frasquita (Iane Roulleau) et une Mercedes charmantes.»
Opéra International janvier 2000
Les
Noces de Figaro (Mozart)
«On se demande par quel prodige Iane Roulleau (Suzanne) réussit à se
hisser au diapason de son fringant Figaro. Elle éclaire son personnage
avec un trés délicat registre de soprano.»
Le Midi Libre février 1999
«Figaro, le baryton Christophe Lacassagne et Susanna, la soprano
Iane Roulleau, m'ont enchantés dès les premières
notes»
L'Echo Républicain mars 1999
«L'affrontement politique entre noblesse et bourgeoisie montante,
qui est aussi rivalité de mâles, s'incarne magnifiquement
dans deux superbes barytons: le Figaro exemplaire de J.C Sarragosse et
le Comte du tout jeune V. Billier(...) Leurs épouses les talonnent
surtout la fraîche Suzanne de Iane Roulleau.»
Jacques Doucelin le Figaro aout 1999.
La Serva Padrona (Pergolese)
«Cette ancêtre de l'opéra buffa est un petite oeuvre
charmante qui retrouva toute sa verve et sa simplicité avec la Serpina
de Iane Roulleau prêtant sa voix claire et légère à une
servante vraiment très effrontée.»
Art et Fugue juillet 1999
Le Martyre de St Sébastien
(Debussy) - Teatro La Scala, Milano
«Su questo sfondo, emergono la stupenda chiarezza del soprano Iane Roulleau
(la Vierge, la Voix Céleste, la Voix Seule, l'Ame de St Sébastien)»
L'Unita Octobre 1999
«Non sono pero molto preziose né precise
le tre voci femminili»
Il Giorno octobre 1999
La Patience de Socrate (Telemann)
«Des femmes, toutes sopranos, Iane Roulleau fut
la plus remarquable, chantant avec nuances et couleurs Cupidon et un
air Rodisette avec flûte»
Gaëtan Cotard Aout 1997
«Un autre élément de cette réussite est bien
sûr la prestation des deux solistes. Patricia Petibon, tout en
grâce et en spiritualité (...) nous transporte ailleurs.
Iane Roulleau, sa complice, nous a offert un timbre un peu plus grave,
plus chaud mais doté de la même expressivité.»
Sud Ouest Juin 1996
Béatrice et Benedict (Berlioz)
«Particulièrement remarquées, trois voix venues de l'Ecole
d'Art Lyrique de l'Opéra de Paris: la soprano Iane Roulleau (Hero),
convaincante à la voix fraîche et légère,....»
Opéra International Avril 1995
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